Récemment, le ministère de la Jeunesse et de
l’emploi jeunes a fait l’objet d’un théâtre à cause du
fait de limoger un Daf pour des raisons qui seraient
liées à une malversation financière. Ce fait se passe
dans le Département stratégique dirigé par Mouctar
Diallo, président du NFD, hier opposant au régime
Alpha Condé.
A en croire aux informations qui circulent sur la
toile, c’est le ministre Mouctar Diallo, qui aurait
instruit sa cheffe de cabinet, Ramatoulaye
Camara,de procéder au remplacement du DAF
sortant de son département pour fautes
administratives. C’est donc dans ce contexte que la
cheffe de cabinet, très respectueuse de l’exécution
des décisions venant de sa hiérarchie, a bien voulu
exécuter. C’est ainsi qu’elle aurait alors procédé au
limogeage du DAF, décrié. Mais, contre toute
attente, le secrétaire dudit ministère de la Jeunesse,
en la personne de Sidiki Touré, RPGISTE de son
état, se serait catégoriquement opposé à
l’application de ladite décision. Toute chose qui
aurait fait déborder le vase. Un bras de fer est donc
engagé entre ces deux responsables (Ramatoulaye
Camara et Sidiki Touré) du dudit département. Mais
- le paradoxe dans cette affaire, c’est que malgré ce bras de
fer entre la cheffe de cabinet et son secrétaire
général, le ministre Mouctar Diallo, en tant que
premier responsable du ministère de la jeunesse et
de l’emploi jeunes est resté de marbre face à une
telle situation. Cependant, ce silencieux coupable du
ministre d’énormes questions au sein de l’opinion
publique. Mouctar Diallo a donc obligation
d’éclairer la lanterne des populations concernant
cette affaire qui mine son ministère. Surtout, lorsque
l’immixtion d’un inconnu se mêle subitement dans la
dance. Un inconnu qui se permet de s’attaquer
injustement à la pauvre Cheffe de cabinet touchant
même à la vie privée de cette pauvre femme avec des
propos malveillants et irresponsables. Alors, une
question cependant: Qui est derrière cette personne
inconnue qui s’acharne contre cette dame avec des
publications sur les réseaux sociaux ? Des personnes
très proches du ministère de la jeunesse auraient t-il
commandités cette publication sur la dame? En tout
cas, voir d’un autre œil l’analyse de la situation,
nombreux sont les observateurs qui pensent et qui
croient comme fer, que les commanditaires blottis
dans ce département en savent quelque chose. C’est
donc dans cette perspective de rétablir la vérité, que
les agents de la DPJ en charge de l’enquête, se sont
trompés de cible. Le présumé
coupable ayant le même nom et prénom que notre
confrère en la personne de Ibrahima Sory Camara,
en a fait les frais. Et comme l’erreur est humaine et
- que cela peut arriver un jour même au plus malin,
notre confrère a aussitôt recouvré sa liberté.
Affaire à suivre
Sylla Ibrahima Kalil