Le conseil guinéen des chargeurs géré aujourd’hui par une nouvelle équipe, tarde à faire des résultats. Avec à sa tête, un certain Ibrahima sory Bangoura qui fait honte à l’élite guinéenne ! Pour être très simple, quand un journaliste professionnel apprend des choses sur un citoyen, la déontologie et l’éthique voudraient qu’il vérifie la véracité de l’information. C’est ce qui fut fait par la rédaction du semainier, le » PATRIARCHE » via le directeur de publication André Gaston Morel. Le mardi, 08 Novembre, après avoir appelé à plusieurs reprises, Ibrahima sory Bangoura pour vérification de l’information, l’équipe de la rédaction a atterri au CGC mais malheureusement, le seul reçu, était le patron de la publication. D’abord pour vous dire que la gestion n’est guère catholique, depuis la devanture du service, on montre sans emballage et sans gêne qu’on est hostile aux hommes de médias qui ne font que simplement leur boulot. Par l’entremise de André Gaston Morel, la rédaction fut reçue par Ibrahima sory Bangoura qui se dit directeur du service et se bombe le torse, de n’avoir peur de personne, même Mamady Doumbouya. Une fois reçu, on a étalé les informations pour lesquelles André Gaston Morel est présent dans les locaux et précisément dans le bureau que le locataire s’approprie déjà, on dirait un héritage : bonjour directeur. On préfère déballer en langue vernaculaire soussou, les accusations portées à votre encontre : directeur, vous êtes accusé de recruter sans appels d’offres, le DAF en principe, est allé en retraite, l’entreprise qui assure ici le gardiennage, appartiendrait à un de vos amis, les directeurs sectoriels ont été enlevés depuis janvier et ils ne sont pas encore remplacés, le pourquoi ? , vous êtes également accusé de vouloir prendre des gens dans votre village, pour les embaucher ici. Après que toutes ces choses-là soient dites en langue du terroir soussou, la rédaction a fini par dire au soi-disant directeur que même les prophètes de Dieu sinon Dieu, lui-même, n’a jamais fait l’unanimité. Donc, ce n’est pas vous, simple Ibrahima sory Bangoura qui va faire exception à cette règle. Ah ! Il n’en fallait point. Le directeur Venu par des relations de Coquin, par effraction relationnelle, s’est laissé aller dans la nervosité en piquant une colère noire. Oubliant que la colère est une aliénation mentale momentanée dont le contenu est le regret. Ibrahima sory Bangoura a commencé aussitôt à faire des invectives et des menaces d et des menaces d’arrestation à son visiteur gênant : vous êtes escrocs, ça ne marche pas avec moi, on m’a parlé de toi, sortez de mon bureau, oubliant que ce bureau ne lui a jamais appartenu, il est là juste pour un temps et susceptible même de poursuites judiciaires après, parce que le cadre guinéen adule sa poche au détriment du pays. C’est le lieu de le dire, Mamady Doumbouya a fort à faire dans ce pays. Les mêmes pratiques malsaines reviennent de la façon, la plus belle. Ce type n’inspire pas du tout confiance. Ibrahima sory Bangoura, le ‘’conseil guinéen des chargeurs’’ est un service de l’État et non une propriété privée. Si vous ne vous reprochez de rien, au lieu de préférer des menaces à l’endroit des journalistes, rendez le tablier. Vous n’êtes pas fait pour gérer un bien public. Ce n’est que le début du commencement. On va continuer à fouiner pour démontrer à l’opinion que vous faites des deals avec vos parents, amis, connaissances qui vont en défaveur du ‘’conseil guinéen des chargeurs.’’
Les investigations continuent
André Gaston Morel/le patriarche