Quels sont ceux qui seront blanchoyés dans ce cloaque du 28 septembre 2009 (Aboubacar Arafan Camara)

Cette affaire du massacre du 29 septembre 2009 ne cesse de hanter les véritables concernés. Puisqu’elle est suivi dans tous les recoins du pays, notamment dans le continent africain et aussi planétaire. La politique de gabellation de son prochain est loin de connaître son épilogue dans ce procès lugubre. Chaque accusé barbouille à sa guise. Les magistrats, parties civiles et avocats charment tous pour accomplir leurs rôles régaliens.
Les accusés cubent leurs tire-clous sur leurs espiegleries et ceux du savoir-faire de leurs avocats. La quête d’objection des fables du camp adverse est un autre instrument pressant pour chacun d’affaiblir ses concurrents dans cette saga judiciaire à grande envergure.
Sur ce ring, toutes les estocades pourraient survenir afin de s’aggripper sur la bride au risque de tomber dans la vase ou d’embouer son image. Eh oui, que ce monde parfois est méconnaissable et cruel. Neamoins il faut vivre avec, car c’est la loi de la nature que le bon Dieu nous a balisé puisque nous l’avons aussi conçu à notre façon rien que pour tirer profit.
De là, certains parmi ces accusés semblent opter pour le mutisme pour se décamper et d’autres par contre s’évertuent au moins pour fournir des pincettes d’informations qui pourraient leur être probablement favorables ou regrettables ultérieurement. Tous veulent être des factotums des sauveurs en niant toute réalisation infâme dans ce massacre.
La société, observatrice où le décompte de bons nombres de juges est flottant, à quant à elle aurait porté crédit sur les harangues de quelques accusés. Quoiqu’il arrive il appartiendra seul au tribunal de palissader et en aucun cas ce dernier ne pourrait avoir le reflex de refiler ce procès. Vraisemblablement la vérité naîtra dans cette affaire à quelque manière que ce soit malgré le pessimisme de certains citoyens quant à son achèvement.
Ce procès au delà tout acanthe une véritable maxime pour tout un chacun comme pour dire que la gloire est parfois éphémère. Et que l’individu pourrait être tant tôt à la merci de tout et à tous instants de sa vie. Loin s’en faut cette gageure clopin-clopant n’est pas prête à s’estomper.