Les responsables de la Fondation pour l’Agriculture et le Développement Durable en abrégé (FADD) ont procédé au lancement officiel des activités de ladite Fondation ce Vendredi 27 juillet 2018 à Conakry. Cette cérémonie de lancement s’est déroulée en présence de l’ancien ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et l’Environnement des Eaux et Forêts, M. Jean Paul Sar et plusieurs autres invités étaient ont marqué leur présence à ladite cérémonie.
Dans son exposé, le président de la Fondation pour l’Agriculture et le développement durable,Oumar Marie Kouyaté a fait savoir que c’est dans le souci d’apporter un soutien technique aux agricultures les paysans dans les quatre régions naturelles de la Guinée et l’amélioration de leur condition de vie pour afin de lutter contre l’exode rurale.
Avant de rappeler que leur structure est le fruit d’une longue et mure réflexion d’un groupe composé de jeunes guinéens qui ont cru devoir prendre leur responsabilité en prenant une part active dans l’édification d’une guinée émergente engagée à conquérir sa place dans le concert des nations.
De poursuivre, il a affirmé : « La FADD compte accompagner les gigantesques efforts déployés au quotidien sur le terrain par le Gouvernement à travers le département de l’agriculture et le secteur rural en général. Apres le lancement de cette Fondation notre première action sera de descendre sur le terrain pour établir le contact avec les paysans dont en particulier les agriculteurs les éleveurs et les pécheurs », a-t-il affirmé.
Jean Paul Saar, ancien Ministre de l’Agriculture, de l’Elévage et des Eaux et Forêts a indiqué que cette ONG a apporté quelques solutions pour le bon développement dans ces différentes activités.
Avant de préciser que le développement de l’Agriculture doit forcement commencé à la base en mettant en place une politique volontariste participative de tous les paysans.
Avant de souligner : « L’autosuffisance alimentaire n’est pas un vain mot c’est possible nous avons démontré en 1999 en réduisant l’exploitation du riz qui était à 300 mille tonnes en obtenant une économie de 150 milles tonnes. Mais malheureusement l’agression de la Guinée vers les frontières en 2000 est venue boquer la croissance économique mais cela n’a pas empêché de continuer à lutter, à
« Réanimer les paysans de manière à ce qu’ils aient des outils de travail et le développement de la traction animal. Si nous voulons réussir dans notre combat d’autosuffisance alimentaire, nous devons faire des exportations et non pas importations », a conclu l’ancien Ministre de la Guinée.
Sylla Ibrahima Kalil pour www.conakrynewsz.s.org