Contactées par l’AFP, ni l’armée israélienne ni l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) n’ont commenté dans l’immédiat.
Des centaines de personnes ont évacué samedi 18 novembre l’hôpital al-Chifa, le plus grand de Gaza, où s’entassaient selon l’ONU au moins 2 300 malades, médecins et déplacés pris au piège par la guerre. Le personnel médical a précisé que 120 malades, dont des bébés prématurés, étaient encore dans l’établissement.
Israël accepte que deux camions de carburant ravitaillent Gaza chaque jour, en dépit de l’opposition d’une partie de la caste politique au sein de l’État hébreu. Une livraison de 17 000 litres a pu être opérée vendredi 17 novembre, permettant le rétablissement partiel des services de télécommunications.
Avec AFP