Mandian Sidibé: le masque du mensonge, même bien porté, n’arrête pas la vérité

Mandian Sidibé: le masque du mensonge, même bien porté, n’arrête pas la vérité

 

Le pseudo-journaliste, Mandian Sidibé s’est livré à réveiller des mensonges nauséabonds  sur sa page facebook parce qu’aucun médias, même le dernier au monde n’accepte de publier ses imbécillités chroniques.

Cet individu de nature schizophrème n’ayant aucune force d’exister dans le réel sans s’attaquer à des honnêtes personnalités vient encore de pondre un récit affabulateur sur la personne du ministre d’État Tibou Kamara.

Malheureusement pour lui, l’opinion est avertie de ses âneries mensongères qu’il exhibe chaque fois qu’il est rongé dans la misère infernale et d’un manque d’attention. Croupissant dans l’indifférence des bonnes personnes, combien de fois, cet instituteur ordinaire  ayant un niveau plus bas que la terre qui s’autoproclame journaliste a contacté certaines personnalités du pays pour qu’on accepte son retour au pays et aller s’installer loin de la capitale, dans son village natal, Kouroussa. Sans succès !

Mandian Sidibé qui a appelé la population de l’Axe en 2013 à l’antenne de descendre à la rue jusqu’à ce qu’il y’a eu un mort, devrait avoir la modestie de fermer sa bouche pour le respect de la mémoire de l’enfant tué à cause de ses agissements anti- professionnels, mais aussi pour compatir à la mémoire de la famille de la victime.

Mais ce n’est pas étonnant quand on sait que cet individu sans foi ni loi souffre d’un désordre psychiatrique caractérisé par une perte de relation totale avec la réalité.

Ce crétin du Valais  privé de bénédiction même la moindre, bref, ce porteur titanesque de la malédiction de “Toutânkhamon” dans la société égyptienne est jaloux de l’ascension fulgurante de M. Tibou Kamara qui constitue aujourd’hui en Guinée une source d’espérance, d’assurance, de confiance et d’harmonie.

Tenez ! Mandian Sidibé, ce rat rongeur de “vivre ensemble”  guinéen vomi par sa propre famille et rejeté en Guinée  est devenu aujourd’hui en France une sorte de “marchandise” qu’on place devant le tableau dans des écoles face aux lycéens pour raconter des bêtises sur la pratique du journalisme en Afrique moyennant quelque chose. Parce qu’il manque de tout ce qu’un homme respecté et digne mérite.

Nous reviendrons sur le quotidien de ce mythomane dans les prochains jours.

Kélètigui Rabah Camara