Réforme engagées à la BCRG : Le 1er Vice-Gouverneur M.Goumou Nianga Komata, apporte des témoignages

Réforme engagées à la BCRG : Le 1er Vice-Gouverneur M.Goumou Nianga Komata, apporte des   témoignages

Depuis son arrivée comme 1er Vice -Gouverneur de la Banque Centrale de la République de Guinée, la plus grande institution financière du pays, M. Goumou Nianga Komata continue de marquer son emprunte digitale au sein de cette institution à travers de vastes réformes engagées afin de donner un nouveau souffle en vue d’un décollage économique de la Guinée.

Déjà en 2011, le 1er vice-président et son équipe ont engagé un bon nombre de chantiers dans le but d’améliorer la situation de la manne financière du pays. D’abord, il a été question pour l’équipe de jeunes cadres de passer très rapidement à l’informatisation de la banque centrale, qui représente aujourd’hui le noyau central de l’institution dans le domaine de la comptabilité qui a totalement changé de système.

«Nous sommes aujourd’hui avec ouraque, un système qui nous permet de travailler en temps réel, on a eu ce projet qu’on appelle sysquo BCRG que nous avons trouvés en 2011, nous l’avons amené à bouque », a expliqué le 1er vice-président de la BCRG.

« Nous avons également engagés pour l’ensemble des pays de la ZMAO, un autre projet qu’on a appelé T24, T24, qui est un autre système informatique ‘’qui permet de gérer tout ce que nous avons avec la clientèle, les comptes des banques, les comptes des personnalités et tout ce système nous permet de voir, de faire les virements à temps réel avec le RTG, l’impôt », a fait savoir M.Nianga Komata.

Avant d’affirmer : «Toutes informations à outrance, nous avons pu réaliser aujourd’hui dans notre banque centrale et avec les banques de la place. Aussi, il y a les chantiers sous la construction par exemple de la banque, la présence de la banque à l’intérieur du pays.

Hormis Kankan où se trouve déjà une grande agence de la BCRG, autrefois appelée bureau achat or. C’est au moment où l’état guinéen perdait assez de recettes sur l’exploitation de l’or de façon artisanale. Voilà les raisons de la présence de la BCRG à Kankan pour pouvoir canaliser dans le circuit officiel l’exploitation de l’or de façon artisanale », a-t-il affirmé.

Avant d’annoncer que d’autres chantiers, comme   l’implantation d’une nouvelle agence à Mamou sont en cours.

Source : La découverte