Ce cadre a été lancé en collaboration avec l’Organisation internationale du travail (OIT), le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Union européenne et d’autres partenaires.
Les partenaires de développement ont réaffirmé leur engagement à travailler « en étroite collaboration » avec la CEDEAO pour mettre en œuvre le plan de travail biennal. Ils se sont engagés aussi à renforcer les systèmes de protection sociale afin de garantir leur caractère inclusif, efficace et durable.
L’UNICEF, la FAO et d’autres partenaires ont insisté sur l’importance de bâtir des systèmes solides et inclusifs. Ils ont appelé à veiller particulièrement à garantir l’accès des enfants ainsi que des communautés tributaires de l’agriculture et des moyens de subsistance connexes.
De son côté, Vanessa Phala, la directrice du bureau de l’OIT pour le Nigéria, le Ghana, le Libéria et la Sierra Leone, également en charge du bureau de liaison pour la CEDEAO, a rappelé que « la protection sociale est à la fois un droit humain et une nécessité économique ».
Depuis plusieurs années, la CEDEAO appuie ses états membres dans l’élaboration de politiques de protection sociale. Elle a notamment favorisé l’harmonisation des stratégies nationales, renforcé les capacités institutionnelles et mobilisé ses partenaires pour améliorer l’accès des populations vulnérables aux services essentiels.
Avec dpa-news






