Transport fluvial et maritime: La deuxième phase de numérisation de la SCZone est lancée

Transport fluvial et maritime: La deuxième phase de numérisation de la SCZone est lancée

La première phase de numérisation a permis de réduire le nombre des procédures à la Zone de 35 pourcent et la durée de prestation des services de 52 pourcent. Photo: Gehad Hamdy/dpa

Comprenant la réorganisation de plus de 60 services, la deuxième phase a pour but de simplifier les procédures administratives de la Zone économique du canal de Suez.

La deuxième phase de la numérisation de la Zone économique du canal de Suez (SCZone) a été lancée en coopération avec la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD). Cette deuxième phase du programme de soutien technique, apporté par la BERD, vise à numériser les services de la SCZone dans le but de simplifier les procédures administratives, d’accélérer la gestion des services aux investisseurs et d’accroître l’efficacité du capital humain.

Elle comprend la réorganisation de plus de 60 services, notamment les services de gestion des terrains, d’approbation des projets, d’approbation environnementale, d’enregistrement des sociétés et les services de permis de travail pour les étrangers, ont annoncé les deux partenaires.

L’assistance technique couvrira également l’automatisation et la numérisation complètes du guichet unique par la mise en place de solutions logicielles et matérielles agiles. Le personnel du département des services aux investisseurs (DSI) recevra également une formation « complète » pour renforcer ses compétences techniques.

La BERD aidera la SCZone à développer un environnement « efficace, compétitif et respectueux de l’environnement » pour attirer les investisseurs internationaux et pour faire de la SCZone « un espace de premier plan » pour les investissements, tout en créant des emplois pour les Égyptiens, selon la banque.

La première phase du projet a été lancée en août 2020 et s’est achevée en 2022 « avec succès », après avoir considérablement réduit les formalités administratives pour les investisseurs, a indiqué la même source. Le nombre de procédures pour les services réaménagés prioritaires (permis de construire, licences d’exploitation, registres industriels, permis de pratique, inspection et contrôle) a été réduit de 35 pourcent et la durée de prestation des services a été réduite de 52 pourcent.

Avec dpa-news