Mamou: Une femme blesse deux (2) fois les testicules de son mari à l’aide d’un couteau

Mamou: Une femme blesse deux (2) fois les testicules de son mari à l’aide d’un couteau

72 heures après l’acte, Souleymane Diallo, domicilié au quartier Petel 1 dans la commune urbaine de Mamou, vient de déclarer les faits.

Selon lui, sa femme voulant couper son sexe, a blessé deux (2) fois ses testicules. Chose qui lui a conduit à l’hôpital régional de Mamou d’où il reçoit les soins.

Rencontré, Souleymane Diallo explique : « Ma femme s’appelle Mariama. Elle me crée souvent des problèmes. A chaque fois que je décide de la renvoyer, mes parents s’opposent. Le lundi 28 février 2022, elle m’a annoncé qu’elle va m’empoisonner. Un jour elle est sortie de la maison à 23h pour ne revenir qu’à 4heures du matin. Lorsqu’elle est arrivée, elle a frappé à la fenêtre pour que je lui ouvre la porte, je n’ai pas répondu. On est resté comme ça. À 07 heures, je suis allé déposer les enfants à l’école. Le soir, lorsque je lui ai demandé de sortir de chez moi, elle a refusé. Alors, j’ai pris ses valises pour faire sortir. Elle est tombée sur moi avec un couteau.
Elle a voulu me poignarder au cou, je me suis incliné. Elle part sous mes jambes avec le couteau. Elle avança avec le couteau. Elle a voulu prendre mon sexe, je n’ai pas accepté. Et du coup elle m’a donné deux (2) coups de couteau sur les testicules, je suis tombé et j’ai crié au secours. C’est ainsi qu’elle a pris la fuite et les voisins m’ont envoyé à l’hôpital régional de Mamou », a-t-il dit.

Couché à l’hôpital, la victime avait donné des instructions aux proches de surveiller ses enfants. Malgré les efforts fournis, la femme est revenue à domicile pour récupérer les enfants et disparaitre.

Avec tous les différents messages de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) dont les femmes sont victimes, les féministes doivent savoir que les hommes ne sont pas en marge. Ils sont tous victimes d’attaques verbales suivis de coups et blessures provenant de leurs épouses qui se réjouissent des textes et lois instaurés pour les protéger d’éventuelles répliques.

S.O.S pour les hommes qui souffrent dans le silence.

AGP